@ Grandbag

MY MUSIC

Latest tracks by Madame B

GET THE ALBUMS AT BANDCAMP, ZORCH FACTORY RECORDS, AFMUSIC, VAULT 106 ,AMAZON ,DEEZER, SPOTIFY, EMUSIC etc

CONTACT: madamebmusic@hotmail.fr

WHAT THEY SAID...

" I've been listening to her CDs and liking 'em a lot. They give me those half awake nightmares.This is really good stuff! Damnation."
LONESOME WYATT,THOSE POOR BASTARDS -

- " I really love her music. It's great, musically and vocally.A bit of Joy Division smashed into Lydia Lunch, but it isn't a rip-off of either. Nice videos, too. It's all great, but " Noisi(h)er Silence" is honestly phenomenal. I'm impressed and even more honored by the fact that she likes my music. "
ZEBULON,SONS OF PERDITION -

- " The instrumental tracks and her voice are unusual and special.If she used a real drummer everything would be perfect."
RHYS CHATHAM -

- " Madame B composes pieces which are so flavourful as the original New York No Wave's productions.If the good fairy bend little over the cradle, she has everything to become the French Lydia Lunch"
YG,EX DADA'S NOISE -

- " Her stuff is crazyyyy! "
OTTO VON SCHIRACK -

- " Twisted thoughts and angry incantations over wonderful mechanical clattering and surreal washes of sonic gloom. Moody introspection and brooding sensuality. Deeply personal music from a true artist."
GUILTY STRANGERS -

- " On a minimalist music, Madame B proclaims her cries of pain or hope to create an obsessing haunting atmosphere, which takes us far, in a dark and melancholic world. A different sound which is worth it. "
COLD WAVE YEARS -

SOME OF MY VIDEOS

MORE HERE : http://www.youtube.com/user/MadameBarree

vendredi 30 avril 2010

Faults and crack




Soon I will tell you goodbye

MALARIA! ( myspace ici )




Malaria! est un groupe allemand formé en Janvier 1981 par BETTINA KOESTER, GUDRUN GUT, MANON P. DUURSMA, CHRISTINE HAHN et SUSANNE KUHNKE. Un groupe exclusivement féminin donc.
MALARIA! est né des cendres de MANIA D, le groupe de BETTINA KOESTER et GUDRUN GUT. C’est au mois d’avril 1981 qu’elles lancent leur EP Malaria!
Après l’arrivée des autres membres et une tournée européenne, elles enregistrent le single « How do you like my new dog? » pour le label belge Les Disques du Crepuscule.
Ensuite, lors de la tournée de Malaria aux USA, on a pu les voir avec des groupes tels que The Birthday Party, John Cale, mais aussi et surtout un show avec Nina Hagen à New York qui marqua les esprits. Cette tournée fut la première à promouvoir la Nouvelle Musique Allemande aux États-Unis.
Entretemps, Malaria enregistra le morceau « New York Passage (Your turn to run) » pour Cachalot records; un morceau qui a atteint le top 10 de la musique indépendante aux États-Unis, aussi bien qu’en Europe. Lors d’une autre tournée en Europe, le groupe donna naissance à « White Water » qui incluait le morceau « Kaltes Klares Wasser » qui est devenu un classique.




" Après l'aventure Autonervous avec Jessie Evans, Köster se lance donc enfin dans une carrière solo avec ce « Queen of Noise ».
La première chose qui surprend à l'écoute, c'est la voix. Plus grave et gutturale que jamais, Bettina semble délaisser les incantations martiales et torturées de Malaria !, bien que revenant de temps à autre, quand le chant s'énerve sur « Crime Don't Pay (Stupid) » ou quand la voix se fait sensuelle et glacée comme sur le très beau « Holy Water ». Une voix comme seules les chanteuses allemandes savent nous en offrir, de Marlene Dietrich à Nico. On pense aussi à une Marianne Faithful de fin de soirée, après plusieurs paquets de clopes, ou encore à la Lydia Lunch des récents spoken words qui explore l'aspect le plus guttural de sa voix, allant parfois jusqu'au chuchotement, comme Bettina le fait sur « Grab Me ». « Queen Of Noise » serait-il donc une référence à « Queen of Siam », le premier album solo de Lydia Lunch ? Possible, quand on connaît les liens qu'entretenaient les Malaria ! avec la scène no wave de New York."

obskure.com


•1981: Malaria (12")
•1981: How Do You Like My New Dog? (7")
•1982: Emotion (LP)
•1982: New York Passage (12")
•1982: White Water (12")
•1983: Revisited - Live (Kassette)
•1984: Beat The Distance (12")
•1991: Compiled (CD)
•1991: Kaltes Klares Wasser (CDM)
•1992: Elation (CDM)
•1993: Cheerio (CD)
•2001: Compiled 1981-1984 (CD)
•2001: Versus EP (12")





jeudi 29 avril 2010

Pour les amoureux du Polaroïd: Le site The Impossible Project ici


En octobre 2008 ," The Impossible Project " a sauvé la dernière usine de production Polaroïd du film Instantané Intégral et a commencé à re-inventer et reproduire un nouveau film pour des Appareils Polaroïd traditionnels.

Shop Description:

The brand new Impossible Project Space in New York City is the first Impossible shop in the USA. It is Impossible's American heart, center and starting point for all passionate lovers of analog Instant Photography.

Located in a spacious 5th floor loft in a SoHo landmark building, this unique space features a retail and exhibition space. Visit us here to purchase all kinds of Polaroid cameras, films, accessories and books.

Furthermore, until August 22 the Impossible Project Space is hosting the first exhibition of The Impossible Collection. The Impossible Collection follows in the footsteps of the world-famous Polaroid Collection and features work created on Impossible's new film materials from an eclectic mix of international artists. The current exhibition features works from artists like Grant Hamilton, Jake Chessum, Laura Watt, Heather Champ, and more than 20 others.



Deux autres sites dédiés aux Polaroids:

http://www.polanoid.net/



http://www.polaroidmanipulation.com/




LES ENFANTS SALES : 3 nouveaux morceaux ici





mardi 27 avril 2010

Tout sur Gustav Klimt ici





Né à Vienne, Gustav Klimt entreprend dans un premier temps des décors muraux pour des édifices publics, peints dans la grande tradition académique, avec un goût marqué pour le détail naturaliste. Le cycle symbolique du plafond de l'université de Vienne, Philosophie, Médecine et Jurisprudence (1900-1902, détruites en 1945), provoque une polémique par la crudité de son érotisme et le parti asymétrique de sa composition. Gustav Klimt fonde le groupe de la Sécession prônant une renaissance des arts contre l'ordre moral. La revue Ver Sacrum (« Printemps sacré »), au titre programmatique, en est le support théorique dans tous les champs d'application. Son style utilise les ressources du décoratif : des surfaces unies traitées dans le plan uniDimensionnel du tableau, des lignes serpentines délimitant strictement les motifs, une abondance d'ornements et de matières précieuses. Qu'il soit symbolique, naturaliste ou architectural, le travail de Klimt traite toujours des liens entre l'érotisme et la mort ; il dessine les frontières de l'indécent et du morbide.

Ses dernières œuvres, les grands portraits (Madame Fritsa Reidler,1906, Galerie autrichienne, Vienne, avec des mosaïques translucides sur fond sinueux) ou bien la série des mosaïques murales (1905-1909) du palais Stoclet à Bruxelles (conçue par l'architecte Josef Hoffmann, également membre du mouvement de Sécession de Vienne), tentent de réconcilier sa volonté d'établir un symbolisme garant de liberté et son goût pour la luxuriance de l'ornementation.

http://www.expo-klimt.com/

site DEVO ici



Formé en 1972, l'inspiration originelle de Devo fut L'Étrange Naissance de l'Homme (The Beginning Was the End) d'Oscar Kiss Maerth : une thèse anthropologique pseudo-scientifique qui attribue l'avènement de l'homme à un accident causé par des singes cannibales et fous de sexe qui ont développé des outils pour s'exploiter sexuellement l'un l'autre et se nourrir des cerveaux l'un de l'autre. Cette métaphore traverse tout le travail de Devo, comme une abstraction de la société moderne.

Le noyau du groupe est Mark Mothersbaugh, au chant et au synthétiseur, et Gerald V. (Gerry) Casale, bassiste du groupe et principal auteur des paroles. La première formation de 1972 comprenait Gerald Casale (basse), Mark Mothersbaugh (claviers), Bob Lewis (guitare soliste), Bob Casale (guitare rythmique), Rod Reisman (batterie) and Fred Weber (voix). Bob Mothersbaugh (guitare soliste) and Jim Mothersbaugh (batterie) s'ajoutèrent aux versions ultérieures du groupe.






Discographie:

Be Stiff Maxi-45 tours (1977)
Q: Are We Not Men? A: We Are Devo! (1978)
Duty Now for the Future (1979)
Freedom of Choice (1980)
Dev-o Live (1980) (re-released in a expanded, limited (5000 copies) édition Rhino Handmade en octobre, 1999)
New Traditionalists (1981)
Oh, No! It's Devo (1982)
Shout (1984)
E-Z Listening Disc (1987)
Total Devo (1988)
Now It Can Be Told: DEVO at the Palace (1989)
Smooth Noodle Maps (1990)
DEVO Live: The Mongoloid Years (1992)
Adventures of the Smart Patrol (1996)
DEVO Live 1980 (2005) (Double CD)
2009 Don't Shoot, I'm A Man !


http://www.myspace.com/devo

lundi 26 avril 2010

Bauhaus



Considéré comme l'un des groupes fondateurs du mouvement gothique, Bauhaus explorera entre 1978 et 1983 un univers sombre et froid où guitares et synthétiseurs s'entremêlaient et supportaient le chant ténébreux de Peter Murphy.
Bauhaus se reformera en 1998 pour une tournée, et la parution d'un album live.

Pour ceux qui ne connaisse pas encore BAUHAUS je vous conseille ces 2 albums:
IN THE FLAT FIELD ( 1980 ) et MASK( 1981 )







Good Mistakes







DVD " D.I.Y or DIE "




D.I.Y. or die
[DVD]
Michael W. Dean
Etats-Unis / 2002

Documentaire sur la scène rock indépendante dite Do It Yourself, c'est-à-dire Faites-le vous-mêmes. Avec interviews et chansons de Lydia Lunch, Ian MacKaye, J. Mascis, Jim Rose, Foetus, Richard Kern, Tribe 8, Gwar, Steve Albini, etc.



PUSSE ( le site )

PUSSE c'est unique!
J'ai découvert ce groupe il y a 8 ans et c'est toujours le même plaisir à chaque écoute!
Sur le site il y a tout! Aller vite découvrir cet univers incroyable!



http://www.myspace.com/pusse

De la chanson française qui décoiffe

Un homme en robe qui fait des bruits d’animaux, un joueur de chaises, un squelette pendu à un fil, une batterie iconoclaste…Pusse est une sorte d’ovni apportant un peu de punk-attitude aux trop traditionnels rimailleurs de la « chansons française ». Plus de classification possible avec ces musiciens qui jouent aussi bien de l’accordéon que des chaises, ce chanteur autant à l’aise en français qu’en allemand ou en aboiement…Le cul entre deux, trois, quatre chaises et plus.
Malgré un accordéoniste, malgré un chanteur et malgré leur nationalité, Pusse est loin de la chanson française telle qu’on la considère traditionnellement : pas ici de comptine sur la vie, pas de guitare folk ou d’accordéon omniprésent, mais un ambiance de cave avec des energumènes étranges, à la fois angoissants et drôles selon l’angle de vue, qui se jettent par terre et tapent sur des poêles avec des chaines rouillées, font grincer des chaises et vibrer des tôles…La figure familière de l’accordéoniste ne parvient pas à nous rassurer …

dimanche 25 avril 2010

Site VIRGIN PRUNES ici




Cette musique gothique pourrait rebuter le moindre ingénu. Ce son sulfureux, ce chant psalmodiant des textes blasphématoires, ces lignes instrumentales fines et tranchantes comme des pics à glace, cette ambiance méphistophélique composée de basse appuyée et de dynamisme indomptable seraient propres à effrayer.
L'immersion dans cette ambiance obscure et malsaine dès l'intro "Ulakanakulot", où une guitare folle vient lancer une mélodie contrebalancée par une basse, très très basse, fait absolument frémir.
Cette atmosphère maléfique et angoissante s'intensifie, sans pour autant que le ton monte, sur "Decline And Fall", lent, traînant, appuyé métronomiquement par un coup de basse qui fait sonar, tandis qu'une flûte fantôme manifeste sa présence et que le chant se fait soudain carrément habité et sentencieux. Les textes de "Sweethome Under White Clouds" sont carrément scandés de manière complètement folle, comme si un dératé venu de l'outre-tombe déclamait l'apocalypse, soutenu par des guitares aiguisés et un saxo perdu.
Les rythmiques sont souvent complexes, plutôt lourdes et inflexibles, parfois composées de percussions étranges. La basse joue ici un rôle primordial puisque sa sonorité découpée plombe souvent la texture. La musique de Virgin Prunes, particulière, se distingue par un caractère vicieux, oppressant et inquiétant : le groupe ne lésine pas sur les effets d'ambiances, fond sonore angoissant, bidouillages fantomatiques, qui aide à insinuer des relents de messe noire. "Pagan Lovesong" et sa dynamique robotique, dérapant parfois vers le burlesque, devient particulièrement dérangeant lorsqu'on écoute cette voix déjantée, qui tantôt psalmodie, tantôt éructe comme un zombie.
Le découpage, les coups de batterie machinaux, le goût pour l'austérité expérimentale, compliquent les chansons ("Dave-Id Is Dead", "Bau-Dachöng"), aboutissant à des sonorités synthétiques, païennes et spécialement lugubres. Sur "Baby Turns Blue" ou "Walls Of Jericho", le ton s'emballe pour des fulgurances acides, littéralement emballantes.
Il faut de très nombreuses écoutes pour apprécier tout le génie de cet album. Les premières fois on est vite effaré devant tant de bassesse et de tendance compulsive à tourner autour du malsain. Tout bonnement traumatisant. Mais il faut se rendre à l'évidence : Virgin Prunes est un groupe phénoménal qui aura marqué son époque. Certes, ils resteront toujours à part, manifestation énigmatique, vivant dans l'ombre, mais leur talent et leur goût esthétique indéniable en feront une référence pour tout ce qui concerne le rock gothique.
Arborant des tenues extravagantes, habillage sado-maso ou androgyne, chemises noires en flanelle ou déchirées, maquillés à outrance, coiffés façon punk, les mauvais coucheurs de Virgin Prunes se radicalisent à l'extrême pour mieux véhiculer la véhémence de leur message. Du visuel graphique, aux prestations scéniques (flirtant avec le feux), rien ne sera laissé au hasard par un groupe conscient de la portée du superficiel chez les gens. Cherchant volontairement la provocation, ils auront réussi à trouver dans la pudibonderie ambiante un terrain favorable à leur carnage. Atteintes aux bonnes mœurs, fascination pour les tabous, retour à la primitivité (à l'intérieur de la pochette on peut voir le groupe en tenue de cro-magnon), tout est là pour pointer du doigt les faiblesses du système de valeur de la société encore replié sur des principes hypocrites.
Alors que le groupe assume et revendique sa fascination naturelle pour les tabous, le morbide, la folie, la société fera du mouvement gothique une confrérie stigmatisée. Une mise à l'écart symptomatique de ses défaillances. En réalité le jeu outrancier de Virgin Prunes, se pavanant dans une exagération grotesque, n'est qu'une mise en scène théâtrale, visant à symboliser tous les mal-êtres existants. Ce jeu, cette représentation s'accompagnent de tout un tas d'effets qu'on retrouve dans If I Die, I Die (ambiance noire et chœurs de mort-vivants sur "Theme for thought", voix bidouillée sur rythme indus sur "Chance Of A Lifetime" ou furie incontrôlable sur "Walls Of Jericho") mais qui participent à une démarche.
Tout au long de l'album on voyagera dans des contrées maléfiques, où voix hallucinées et textures d'ébènes dépeignent une atmosphère sinistre.
Cependant on aura tôt fait de réduire le mouvement gothique à cette surenchère. Les groupes seront jugés comme risibles, inconsistants, voire ridicules, une manière aussi pour les biens pensants de se défausser.
Cette armée de zombies, aux aspirations trop extrêmes, n'aura jamais eu la reconnaissance méritée, hormis dans les quelques cercles profanes. Le symbole porté par le mouvement gothique n'aura été que peu compris.
Comment pourtant ne pas y voir l'exultation d'un malaise, dont l'origine tient en fait d'un romantisme assumé ? La tristesse, la fascination pour le mauvais goût comme moyen d'assumer l'entière complexité de sa personnalité. Plutôt que de se cacher derrière le petit doigt, préférer s'épanouir dans l'art et la représentation, aussi noire et malsaine soit-elle.
Impossible de ne pas détecter cette sensibilité exacerbée dans l'entrain envoûtant et faussement candide de "Ballad Of The Man". Lorsqu'on s'intéresse aux textes de If I Die, I Die, sans doute le point d'orgue de la carrière des Virgin Prunes, on y découvre une profondeur stupéfiante et une poésie morbide, dérangeante mais cruelle de vérité.
Quant à l'instrumental "Fado", la grâce atteinte confère du céleste.
Toute l'œuvre de ce groupe culte, accessible grâce aux récentes rééditions, mérite amplement d'être redécouverte, ne serait-ce que pour comprendre ce qu'était réellement le rock gothique dans les années 80. Et cesser de mépriser ce mouvement.

jeudi 22 avril 2010

Siouxsie And The Banshees - Site ici





Siouxsie and the Banshees est un groupe de rock britannique formé à Londres en 1976.

Initialement associés à la scène punk anglaise, Siouxsie and the Banshees ont rapidement su évoluer pour créer « une forme de discorde post-punk remplie d'expérimentation rythmique et sonique ». The Times cite le groupe comme « un des aventuriers musicaux les plus audacieux et les plus intransigeants de la période post-punk ». Leur musique a influencé The Cure.





La chanteuse Siouxsie Sioux et le bassiste Steven Severin sont les deux membres fondateurs du groupe.
Avec le guitariste John McKay et le batteur Kenny Morris, ils enregistrent en 1977 deux John Peel Sessions très remarquées pour la BBC.
En 1978, le groupe sort un premier single post-punk, le sur-vitaminé Hong-Kong garden classé dès sa sortie numéro 7 au Royaume-Uni.
Leur premier album The Scream suit dans la foulée avec des morceaux qui préfigurent déjà la coldwave. Nick Kent écrit dans le NME ; « Le groupe sonne comme un héritage unique du Velvet Underground mélangé à une partie de l'ingéniosité de Can époque Tago Mago. », il poursuit ; « Sûrement, le traditionnel son (guitare, basse, batterie) n'a jamais été utilisé aussi inhabituellement dans le passé et avec des résultats aussi remarquables. » L'album marque durablement les esprits et vingt ans plus tard, Massive Attack reprendra la musique de Metal Postcard sur la BO du film The Jackal.

En 1979, les Banshees deviennent un des fleurons de la scène musicale britannique, avec des concerts qui sont de véritables cérémonies rock mais, en septembre, un clash éclate entre les musiciens au début de la tournée de l'album Join Hands, provoquant le départ précipité de McKay et Morris. Robert Smith de The Cure assure alors une première fois l'intérim un mois durant, jouant lors de la tournée d'abord avec les Cure (en première partie); puis avec les Banshees (en seconde partie).

En 1980, avec l'arrivée d'un nouveau guitariste John McGeoch transfuge de Magazine et du batteur Budgie de The Slits, le groupe enregistre des morceaux plus pop comme Happy house et Christine, et d'autres plus atypiques comme l'électro-ambient Red light. On retrouve ces titres sur Kaleidoscope, un album qui par son éclectisme séduit un public plus large, se classant en Angleterre. En 1981, Siouxsie et Budgie forment un deuxième groupe The Creatures pour jouer une musique basée davantage sur les percussions, et les Banshees publient en cette même année Juju, un des disques les plus marquants de leur carrière selon le chanteur Morrissey.

En 1982 sort A Kiss in the Dreamhouse, un disque novateur et expérimental qui flirte parfois avec des rythmes dance. L'album suscite un vif enthousiasme critique en Angleterre. Le NME conclut sa chronique en promettant à ses lecteurs ; « Cette musique vous coupera le souffle. Mais John McGeoch, épuisé par l'enregistrement du disque, est contraint de quitter le groupe peu de temps après.


Robert Smith prend une nouvelle fois le relais et devient à son tour le guitariste officiel des Banshees de 1982 à 1984. Il enregistre avec eux le single Dear Prudence, une reprise de la chanson des Beatles, et le live Nocturne capté à Londres en 1983 puis il participe à l'enregistrement de l'album studio Hyaena.

Avec le single Cities In dust publié en 1985, Siouxsie ouvre une nouvelle brèche avec une approche résolument plus directe : ce titre renoue d'ailleurs avec l'urgence de leurs débuts. Tinderbox, l'album qui suit en 1986, met en valeur le jeu de guitare en arabesques de la nouvelle recrue John Carruthers. Ce dernier participe également à l'album de reprises Through the Looking Glass : un disque qui permet aux musiciens d'expérimenter à nouveau grâce au soutien de leur producteur et ami Mike Hedges.

En 1988, le groupe attire un public de masse en Amérique du Nord avec l'album Peepshow. Le premier single qui en est extrait, Peek-a-boo, sonne comme un hip-hop expérimental avec des sons abrasifs. Ceci est dû en partie à un sample de bandes passées à l'envers. L'instrumentation s'étoffe au passage avec l'arrivée du multi-instrumentaliste Martin McCarrick qui joue de l'accordéon et du violoncelle en plus des claviers.

Après la tournée qui suit, Siouxsie et Budgie profitent d'une période de repos pour enregistrer un nouvel album de The Creatures, Boomerang où minimalisme devient synonyme de liberté esthétique. Jeff Buckley reprendra sur scène quelques années plus tard Killing Time, un des seuls morceaux blues de ce disque.

En 1991, Kiss Them For Me extrait de Superstition, se retrouve classé 23e dans les charts des singles américains : la chanson produite par Stephen Hague (connu pour avoir travaillé précédemment avec New Order) mélange une rythmique baggy à des cordes Beatles avec voix éthérée à la clef. Certains journalistes parlent de pop sophistiquée.

En 1994, Siouxsie chante en duo avec Morrissey sur le single Interlude, une ballade élégiaque servie par des arrangements de cordes. Un an plus tard paraît le dernier album studio du groupe : The Rapture, un disque qui est musicalement assez proche de 'A kiss in the dreamhouse'. Les Banshees se séparent peu de temps après.

Siouxsie et Budgie poursuivent ensuite l'aventure avec leur deuxième groupe The Creatures. Ensemble, ils enregistrent une musique particulièrement habitée sur Anima Animus. Cet album séduit les connaisseurs dont PJ Harvey qui le classe sur son site internet dans ses 10 albums préférés sortis en 1999.


Après avoir pris part à une courte reformation des Banshees en 2002, Siouxsie participe à l'album Kish Kash de Basement Jaxx puis à Hai!, le dernier opus studio des Creatures.

En 2004, le coffret Downside Up regroupe 55 titres inédits, parus en Angleterre en faces-B de singles entre 1978 et 1995. Parmi ces titres figure Tattoo, un morceau pré-Trip-Hop composé par le groupe en 1983 et repris depuis par Tricky.

En septembre 2007, paraît le premier album solo de Siouxsie Mantaray. Le disque reçoit un bon accueil de la critique anglo-saxonne : le site Pitchfork parle dans sa chronique de « pop » et écrit « c'est un succès ».

En 2009, plusieurs rééditions proposent en version remasterisée les albums parus entre 1982 et 1986, dont le classique A Kiss In The Dreamhouse, considéré comme un chef-d'oeuvre par la presse anglaise. Comme pour les rééditions 2006 des quatre premiers albums, il y a de nouveau sur chaque CD, une série de bonus inédits.

Un coffret constituté d'archives inédites des Banshees, At The BBC , paraît aussi peu de temps après. Il comporte un DVD avec toutes les performances live du groupe données pour la télévision anglaise BBC de 1978 à 1991, et des CD audio réunissant l'intégralité des sessions radio plus des enregistrements inédits de concerts enregistrés à Oxford en 1985 et à Londres en 1988.

Un autre DVD live de Siouxsie en solo cette fois-ci, est aussi disponible. Intitulé Finale - The Last Mantaray and More Show, il propose un concert capté à Londres en septembre 2008 avec d'autres prestations en bonus.

vendredi 16 avril 2010

Can your pussy do the dog ?




L’histoire des Cramps est l’histoire du couple Lux Interior et Poison Ivy, et l’origine des Cramps est leur première rencontre en 1972 à Los Angeles où Erik Lee Purkisher prend en auto-stop Mlle Rorschach. Ils se découvrent une passion commune pour la sous-culture des 45 tours rock’n’roll rares et obscurs, les films de série B et tout ce qui est Trash, bien avant que cela soit la mode.
Fatigués des insultes des hippies du voisinage chaque fois qu’ils sortent en ville, ils décident de retourner à Akron, où Lux a passé toute son enfance. De Akron, ils font souvent le voyage de neuf heures de route vers New York pour voir les Ramones en concert au CBGB, club maintenant mythique de New York, berceau du mouvement punk. Ils décident de former The Cramps, choisissant ce nom parce qu’il évoque la douleur violente.

En septembre 1975, ils font le grand pas et déménagent à New York où Lux travaille chez un disquaire et Ivy dans un club. Le collègue de Lux, Greg Beckerleg est par coïncidence aussi quelqu’un avec les mêmes goûts bizarres et il est né le même jour qu’Ivy. Les trois sont faits pour s’entendre. Lorsque Greg entend parler du projet Cramps, il demande à en faire partie. Le lendemain il revient avec une guitare d’occasion dont il ne sait pas jouer, et le pseudonyme de Bryan Gregory. Il leur manque un batteur, problème rapidement résolu par Brian Gregory d’un coup de fil à sa sœur Pamela. Celle-ci se propose pour le poste, même si elle n’a aucune expérience en la matière, et se joint le groupe sous le nom pseudnyme Pam Balam.
Le fait que les Cramps n’avaient pas de bassiste attitré a attiré l’attention à leurs débuts. En fait bien souvent Bryan Gregory jouait des parties de basses sur sa guitare.
Pam Balam jètera l’éponge peu après durant l’été et est remplacée par Miram Linna.
Leur premier concert se fait au CBGB le 1er novembre 1976 en première partie de The Dead Boys. L’inexpérience les fait équiper leurs guitares de cordes neuves et donc jouer le concert désaccordé. Le patron du CBGB leur interdit de remonter sur scène.
Les concerts suivants au Max Kansas City, autre club mythique de New York, se passent mieux et attirent la sympathie des Ramones qui leur permettent de revenir jouer au CBGB. Vers le milieu de 1977, Miriam Linna quitte le groupe et est remplacée par Nick Knox.


The Cramps en concert en 2006Leur premier enregistrement, sorti en 1978 sur leur propre label Vengeance Records, est un 45 tours, The Way I Walk, bientôt suivi de Human Fly. Ces titres apparaissent sur le mini-album ‘’Gravest hits’’.
En 1979, ils sont signés sur IRS.

Ils enregistrent à Memphis avec Alex Chilton aux commandes en tant que producteur l’album Songs the Lord Taught us qui sort début 1980.

Brian Gregory quitte alors à son tour le groupe en mai 1980, non pas pour rejoindre un culte de sorcellerie comme le prétendit IRS pour des raisons publicitaires, mais pour former un autre groupe avec une copine.
Les Cramps déménagent alors pour Los Angeles. Ils remplacent Bryan Gregory par Brian Tristan, alors guitariste du Gun Club que Lux et Ivy rebaptise Kid Congo Powers.

La nouvelle formation enregistre Psychedelic Jungle qui sort en 1981. Le son est moins violent que pour le premier album et les rythmes sont en général plus lents. Mais la démence reste présente, plus larvée que frénétique. Le disque comme le précédent, balance morceaux originaux avec reprises 50’s Rockabilly et 60’s Punk. L’album est aussi le début des problèmes avec la maison de disque et entament des procédures légales contre celle-ci.

En 1983, IRS sort l'album Off The Bone. Les Cramps quant à eux sortent Smell of Female dans le circuit des labels indépendants (Big Beat, New Rose, ...). Ce disque Live enregistré à New York au Peppermint Lounge, est aussi la fin pour Kid Congo Powers qui n’est plus en état de jouer dans les Cramps et qui retourne rejoindre le Gun Club. Il est temporairement remplacé par Ike Knox, un cousin de Nick Knox qui ne restera pas.

L’album A date with Elvis est enregistré en 1985 en trio, Ivy posant avec une perruque sur la pochette du disque comme bassiste.
Candy del Mar les rejoint en 1986. Elle est bassiste et contrairement à nombre des membres précédents, elle sait jouer de son instrument. Les Cramps ont maintenant une section rythmique qui tient la route.
En 1990, Nick Knox quitte à son tour le groupe.


Les membres s’échangent et les albums s’enchaînent au cours des années 1990 et les Cramps ne génèrent plus d’intérêt que pour un groupe de fans qui diminue au fil des années. Il faut attendre le début des années 2000, avec le retour d’intérêt pour le Rock garage pour que leur importance soit reconnue et qu’un public plus nombreux, toute proportion gardée, revienne vers eux.

Lux Interior est mort le 4 février 2009 à 4:30 du matin, heure locale, au Memorial Hospital de Glendale en Californie, sans doute en raison de problèmes cardiaques déjà connus. Il avait 62 ans.


Faded

Who are you?

STORM

mardi 13 avril 2010

Nouveau morceau ici _ Noisy Silence



You make me sick

I trusted you
And you lie to me
And you tell me what to do
You fucking lie
You burn
You shine
You will die

You make me sick
You fucking dick
I'm gonna fuck yourself again
You make me sick
You make me sick
You know i'm feeling insane

What the matter with you
What did i do to you

YOU
GO

You fucking sick
You fucking prick

You make me sick so sick
And now blood is going
And now the dead are calling
You make me sick
You know
My heart beating my brain
And now i'm crazy

Fuck you
Fucking mouth
Shut your dirty mouth
Fuck your dirty mouth
Shut it right
Shut it right
Shut it right now
Are you gonna shut it now


What the matter with you
What i did to you
You
Go
You fucking sick
You fucking prick

dimanche 11 avril 2010

The Polaroid Book ici

Site Tim Burton ici

D'Edward aux mains d'argent à Sweeney Todd, en passant par L'Étrange Noël de Monsieur Jack ou encore Big Fish, Tim Burton fait partie de ces quelques visionnaires du septième art qui ont réussi à créer à l'écran un véritable univers, à la fois novateur et complètement original.
D'ordinaire avare d'entretiens, Tim Burton... parle ici pour la première fois à coeur ouvert. La complicité qui le lie à Mark Salisbury nous permet d'entrer avec ces conversations dans l'intimité du créateur et de découvrir son jardin secret, peuplé de rêves et de cauchemars.
Il revient ainsi avec une rare sincérité sur son enfance, ses débuts chez Disney, sur les films qu'il a faits, ou ceux qu'il n'a pas faits, sur ses relations difficiles avec les studios ; il évoque ses influences, son travail de dessinateur, d'illustrateur, et lève le voile sur ses obsessions et ses angoisses, sur ses zones d'ombre aussi. Enfin, dans ce livre exceptionnel illustré d'une centaine de ses dessins, il nous confie bon nombre d'anecdotes de tournage totalement inédites.
Bien plus qu'un simple ouvrage d'entretiens, c'est un voyage au coeur même du cinéma de Tim Burton que nous vous proposons ici.



http://www.timburtoncollective.com/

vendredi 9 avril 2010

Site New York No Wave

"Die a thousand times for every lie you hide inside"

( http://www.myspace.com/teenagejesusandthejerks )


Teenage Jesus & the Jerks were an influential New York post-punk group who formed part of the city's No Wave movement.

Founded by one-time CBGBs waitress Lydia Lunch and saxophonist James Chance, the group was active from 1976 to 1979, releasing only a handful of singles.

Chance eventually left to form The Contortions and pursue his own equally abrasive musical direction. Both groups were featured on the seminal "No New York" LP, a showcase of the early No Wave scene compiled and produced by Brian Eno.

Infamous for playing ten-minute sets filled with thirty-second songs, they sought to take music beyond what Lunch saw as the traditionalism of punk rock.

The group left behind little more than a dozen complete recorded songs with most of the surviving titles collected on the 18-minute career retrospective CD entitled Everything. However other studio versions of several songs exist alongside a few live recordings.

Few bands have achieved quite such an impact with so slim a body of work, one felt not only in the US but also via limited radio play in Britain.

Lunch and Chance both went on to become cult figures of the New York underground music scene and the group has been cited as a significant influence on subsequent post-punk groups such as Sonic Youth.

The band reunited in 2008 for a series of performances, with Sonic Youth guitarist Thurston Moore. The band continued to perform without Moore throughout 2009, including dates in Canada.





Plus de photos ici







Site Jeanloup Sieff ici






Après des études secondaires aux lycées Chaptal et Decours et un bac philosophie, Jeanloup Sieff, né de parents d'origine polonaise, enchaîne les études éphémères : deux semaines de lettres, dix jours de journalisme, un mois de photo à l'école Vaugirard et sept mois à l'école de Vevey en Suisse. Il publie ses premières photographies en 1950 dans Photo revue. Quatre ans plus tard, il débute comme photoreporter pour le magazine Elle, mais doit faire son service militaire. Refusant de faire la guerre d'Algérie, il est réformé au bout de trois semaines pour déficience intellectuelle. Il démissionne de Elle pour rejoindre l'agence Magnum et voyage pour son travail à travers l'Italie, la Pologne, la Grèce. Considéré comme l'un des plus grands photographes de sa génération, celle de la 'nouvelle vague', il parvient à préserver dans la célébrité la fraîcheur et la légèreté de l'adolescence. Pour ses quatorze ans, un oncle lui offre un Photax en plastique noir pour lequel il affirme : 'Si jamais je n'avais pas eu ce cadeau, je serais peut-être devenu comédien, cinéaste, écrivain, ou gigolo'. 'Demain le temps sera plus vieux', une anthologie sur quatre décennies, révèle d'admirables clichés : portraits, paysages, mode, publicités... Un écho en noir et blanc qu'il trouve plus réaliste que la couleur à sa carrière chez Look, Vogue, Harper's Bazaar, Match... Jeanloup Sieff, un des artistes les plsu récompensés de sa génération, s'éteint à l'âge de 77 ans condamné par un cancer.




jeudi 8 avril 2010

P.J. Harvey _ Nick Cave

Biographie de P.J. Harvey

Le trio, composé de Robert Ellis, Steve Vaughn et Polly Jean Harvey, se forme en 1991, et sort ses premiers titres quelques mois plus tard avec le label indépendant Too Pure. Les critiques sont unanimes et l'album à paraître, 'Dry', est attendu avec impatience. Le succès est total, tant en Europe qu'aux Etats-Unis. Le groupe signe en 1993 chez Island Records et leur deuxième opus, 'Rid Of Me', donne lieu à une tournée triomphale à la fin de laquelle Polly décide cependant de se séparer de ses musiciens afin de faire de nouvelles expériences. Un projet plus personnel et éclectique la mène à 'To Bring You My Love', paru en 1995, sur lequel elle aborde toujours les thèmes du sexe et de la religion avec l'humour noir qui la caractérise. En concert, P.J. Harvey se montre de plus en plus performante, et son succès ne cesse de croître, comme en témoignent ses nombreuses nominations et récompenses. Son cinquième album confirme son statut de star internationale. 'Is This Desire ?' est salué par la critique, et Harvey enchaîne les dates autour du monde avant de réunir ses anciens partenaires pour l'album 'Stories From The City, Stories From The Sea'. En 2004 sort 'Uh Huh Her'. Artiste reconnue, Polly Jean Harvey expose également son travail de sculpture, est publiée en tant que poète et enchaîne les collaborations avec Nick Cave, Tricky et John Parish, ainsi que Josh Homme des Queens Of The Stone Age. Son dernier album, 'White Chalk' sort en 2007.

Site: http://pjharvey.lucidwebs.co.uk/



Pj Harvey - Henry Lee (With Nick Cave)
envoyé par jesus_lizard. - Regardez la dernière sélection musicale.


Biographie de Nick Cave

C'est dans un univers anglican très religieux que grandit Nick Cave. Il en sera d'ailleurs marqué et nombre de ses écrits seront plus tard parsemés de références au sacré. Son parcours musical débute au sein des Birthday Party, un groupe gothique. Puis, Nick Cave forme en 1983 Nick Cave and the Bad Seeds. En 1986, le groupe se fait connaître auprès du grand public avec 'Kicking against the Pricks', son troisième album, composé de reprises. Artiste complet, Nick Cave s'essaye aussi, au cours de sa carrière, au métier d'acteur. On le retrouve dans 'Les Ailes du désir' de Wim Wenders, dans lequel il fait une apparition, puis dans 'Tender Pray' notamment. Ecrivain, il signe deux ouvrages, 'King Ink' et 'And the Ass saw the Angel'. En 1994, la sortie de son opus 'The good Son' confirme le succès du chanteur. Suivent 'Let Love in' puis 'Murder Ballads', en 1996. Le titre 'Where the Wild Roses Grow', qu'il interprète avec Kylie Minogue, est l'un de ses plus grands succès. Entre 1997 et 2004, Nick Cave sort cinq disques. Fin 2006, il fonde avec les autres membres des Bad Seeds un nouveau groupe baptisé Grinderman. Artiste pluridisciplinaire par excellence, Nick Cave exprime, à travers l'ensemble de ses chansons, son attirance pour la musique populaire américaine. Il est en outre poète et scénariste.

Site: http://www.nick-cave.com/

Site Patti Smith ici

Poétesse Rock

Figure emblématique du rock, elle fait partie de ces artistes qui ne peuvent inspirer que respect et admiration. Patti Smith, poète et chanteuse rock, naît le 30 décembre 1946 à Chicago aux Etats-Unis.

Elle se fait connaître à New York au début des années 70 grâce à ses écrits. En 1974, elle enregistre le titre Piss factory avec le guitariste et critique rock Lenny Kaye. L'année suivante, elle monte un groupe et sort Horses.

Elle enregistre ensuite Radio Ethiopia rock et expérimental. En 1978, elle signe l'album Easter plus commercial avec le titre Because the night en collaboration avec Bruce Springsteen. Ce disque est son plus gros succès. L'année suivante, après la sortie de Wave, elle se marie avec le guitariste des MC 5 Fred "Sonic" Smith et se retire de la scène rock.

Patti Smith revient en 1988 avec Dream of life. Son mari décède en 1994. Deux ans plus tard, elle signe Gone again puis Peace and noise en 1997 et Gung Ho en l'an 2000. Quatre ans plus tard, la chanteuse est de retour avec Trampin' et en 2007 avec Twelve.











Concert 2010 au Festival " Les Déferlantes d'Argeles " sur mer :

http://www.digitick.com/festival-les-deferlantes-d-argeles-sur-mer-samedi-10-juillet-2010-css4-digitick-pg101-ri486989.html

Concert 2011 à Paris :

http://www.sallepleyel.fr/francais/evenement.aspx?id=10965

mardi 6 avril 2010

MUSIC'S BOOKS



New York Noise: Art and Music from the New York Underground 1978-88
Belle plongée dans l'underground des années 80 à New-York, des artistes qui sont devenus des personnalités indispensables de la culture d'aujourd'hui. Cet album de photographies propose des portraits qui sont de magnifiques documents, de stars comme Warhol, Basquiat ou David Byrne jusqu'aux inconnus. Des photos de lofts, de concerts, de vernissages d'expositions... L'exhaustivité paraît presque totale: des musiciens jazz (John Zorn), rap (les Run DMC), musique moderne (Phil Glass), rock (Alan Vega), des peintres (Basquiat, Haring...), des acteurs...bref un joyeux mélange qui montre bien à quel point les frontières entre les arts ont été secouées ces quelques années-là. De ci-delà des commentaires sous la forme de courts textes (en anglais) d'un peu tout le monde! Et le point de vue n'est pas seulement nostalgique, car la plupart de ces artistes sont encore actifs aujourd'hui, et toujours créatifs.


This book traces the history of this influential genre from its most famous names down to its many offshoots and sidetracks. From early pioneers like Suicide and Glenn Branca, to forgotten treasures like Red Transistor and Bush Tetras, No Wave charts all the cracks and crevices of a surprisingly diverse movement. Flashing through the New York underground in the late 1970s, No Wave was the ultimate anti-movement. Its bands consisted of artists and poets untrained in music, looking to explode rock and disappear before the smoke cleared. The primary perpetrators - Lydia Lunch's howling Teenage Jesus and the Jerks, James Chance's skeletal Contortions, the dark-noise groups Mars and DNA - all drew on primitivism, performance art, and the avant-garde. They were best known for short songs and even shorter life-spans. The book also delves into No Wave cinema, a vibrant underground scene where figures like Jim Jarmusch, Nick Zedd, and Steve Buscemi first cut their teeth. Illustrated with concert photos, record covers, and other ephemera of the times, and filled with quotes from those who were there, No Wave is the definitive guide to a genre whose sounds and ideas still vibrate through alternative culture today..




No Wave: Post-punk. Underground. New York. 1976-1980 (Relié)
Un livre qui retrace l'historique précis et documenté de ces folles années 70 et 80 à New-York, quand la créativité aussi bien musicale que cinématographique était à son maximum. La NO WAVE est née de la rencontre du punk et du monde de l'art contemporain. Sont bien connus James Chance ou Lydia Lunch, mais ici vous découvrirez comment tous ces groupes sont nés, se sont rencontrés... et tous ceux qui gravitaient autour, aussi bien des cinéastes que des peintres.

lundi 5 avril 2010

Tim Burton - Helena Bonham Carter

Depuis qu'ils se sont rencontrés en 2001 sur le tournage de La Planète des Singes, le réalisateur américain Tim Burton (Sleepy Hollow) et la comédienne britannique Helena Bonham Carter (Fight Club) ne se quittent plus d'une semelle.

Que ce soit dans leur vie professionnelle ou leur vie personnelle les deux sont inséparables.

Ils ont travaillé ensemble sur Big Fish, Charlie et la Chocolaterie, Les Noces Funèbres, Sweeney Todd, et Alice in Wonderland.



Eternal