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MY MUSIC

Latest tracks by Madame B

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CONTACT: madamebmusic@hotmail.fr

WHAT THEY SAID...

" I've been listening to her CDs and liking 'em a lot. They give me those half awake nightmares.This is really good stuff! Damnation."
LONESOME WYATT,THOSE POOR BASTARDS -

- " I really love her music. It's great, musically and vocally.A bit of Joy Division smashed into Lydia Lunch, but it isn't a rip-off of either. Nice videos, too. It's all great, but " Noisi(h)er Silence" is honestly phenomenal. I'm impressed and even more honored by the fact that she likes my music. "
ZEBULON,SONS OF PERDITION -

- " The instrumental tracks and her voice are unusual and special.If she used a real drummer everything would be perfect."
RHYS CHATHAM -

- " Madame B composes pieces which are so flavourful as the original New York No Wave's productions.If the good fairy bend little over the cradle, she has everything to become the French Lydia Lunch"
YG,EX DADA'S NOISE -

- " Her stuff is crazyyyy! "
OTTO VON SCHIRACK -

- " Twisted thoughts and angry incantations over wonderful mechanical clattering and surreal washes of sonic gloom. Moody introspection and brooding sensuality. Deeply personal music from a true artist."
GUILTY STRANGERS -

- " On a minimalist music, Madame B proclaims her cries of pain or hope to create an obsessing haunting atmosphere, which takes us far, in a dark and melancholic world. A different sound which is worth it. "
COLD WAVE YEARS -

SOME OF MY VIDEOS

MORE HERE : http://www.youtube.com/user/MadameBarree

jeudi 29 juillet 2010

Please Kill Me : L'histoire non censurée du punk racontée par ses acteurs

J'ai envie de vous faire découvrir un livre que je lis en ce moment et qui me plait beaucoup: "Please Kill Me" de Legs McNeil and Gillian McCain.
Comme le dis le titre c'est l'histoire non censurée du punk racontée par ses acteurs, un régal!




Présentation de l'éditeur:

Please Kill Me est le fruit (vénéneux) de centaines d'heures d'entretiens avec ceux qui ont animé l'un des mouvements culturels et musicaux les plus détonants de la fin du vingtième siècle : le punk-rock américain. Réalisé sous forme de montage nerveux, extrêmement vivant et souvent impitoyablement drôle ou tragique, ce livre dans lequel les voix se répondent rarement pour s'accorder nous offre une plongée incroyable dans la vie quotidienne pleine de bruit et de fureur, de drogues, de catastrophes, de sexe et de poésie (parfois) du Velvet Underground, des Stooges d'Iggy Pop, du MC5, des New York Dolls et des Heartbreakers de Johnny Thunders, de Patti Smith, de Television, des Ramones, de Blondie et de dizaines d'autres. Avec leur gouaille et leur verve redoutables ou leur humour pince-sans-rire, les acteurs ressuscitent pour nous les anecdotes les plus délirantes des différentes époques de leur vie, font revivre ces personnages attachants et/ou détestables (avec des scènes d'anthologie à tous les chapitres), à tel point qu'on a l'impression de partager avec eux ce quotidien insensé de galères en tout genre, qu'on étouffe de rire à l'évocation des frasques d'Iggy Pop déchaîné ou d'un impayable Dee Dee Ramone ; ou qu'on ravale ses larmes à celle de la fin calamiteuse d'un Johnny Thunders ou d'un Jerry Nolan. L'enchaînement irrévérencieux des points de vue provoque des effets comiques souvent irrésistibles, puisqu'ici, comme l'indique le sous-titre, aucune censure n'a cours les amitiés indéfectibles côtoient les antipathies persistantes et les amours explosives (Connie et Dee Dee, Sid et Nancy). Personne ne semble pourtant avoir la moindre honte à dévoiler ce qui fut bien souvent un mode de vie extrême, disons extrêmement rock'n'roll, moins centré sur l'image que le punk anglais et dédié avant tout à une certaine forme d'innocence paradoxale, refusant aussi bien les idéaux peace and love éculés des années 60 que la culture de l'argent roi qui se profilait avec l'arrivée des années 80. Mais cette innocence verse un lourd tribut à ses excès (overdoses, coups de couteau, prostitution) et manipule la dérision comme une arme de destruction massive. Please Kill Me se lit comme un roman à plusieurs voix, rapide à couper le souffle comme une chanson des Ramones.

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